Le directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm), Dr Edoh Kossi Amenouve, a révélé que les 10 premières Fintech africaines ont levé, plus de 143 milliards Fcfa ( 250 millions dollars US) pour la seule année 2018.
Provenant essentiellement de l’Afrique du Sud, du Nigeria et du Kenya, ces fintech ont généré des milliers d’emplois, selon le patron de la bourse commune aux pays membres de l’Union économique monétaire ouest africaine (Uemoa).
A l’en croire, cette zone communautaire citée ci-dessus a un retard à rattraper dans ce domaine, qui représente « un enjeu important en termes de modèle économique de croissance et d’emploi ».
Considérée comme un nouvel outil financier qui use des moyens technologiques pour proposer des services financiers, moins coûteux et plus efficace pour les consommateur, la Fintech « qui alimente autant d’espoirs avec la remise en cause des anciens modèles, est définitivement irréversible et s’impose à tous ».
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