Schneider Electric, leader mondial de la gestion de l’énergie et de l’automatisation, et Inco éducation accelerator, un groupe mondial dédié à la formation professionnelle et entrepreneuriale, ont noué un partenariat pour faire de la transition énergétique ivoirienne un success story. C’était le mercredi 24 avril à Abidjan à l’occasion de la 2è édition d’Innovation Day, une journée dédiée à l’innovation et aux solutions technologiques de pointe, autour du thème : « Dynamiser l’Afrique subsaharienne avec le numérique comme catalyseur de l’efficacité et du développement durable »
Walid Sheta, président de la zone Afrique et Moyen-Orient de Schneider Electric, a souhaité investir dans la transition énergétique en Afrique a réaffirmé la nécessité d’investir dans la transition énergétique en Afrique.« La mission du groupe Schneider Electric, est d’aider les clients, partenaires, gouvernements et institutions à décarboner leurs économies, évidemment à travers l’électrification », a fait savoir Walid Sheta. Pour atteindre ces objectifs fixés, des méthodes ont été déployées à savoir, aider les partenaires à définir leurs stratégies de décarbonisation, électrifier leur process et le contrôler à travers les données, pour faciliter la digitalisation de leurs installations et écosystèmes.
Mathieu Planchard, représentant d’INCO éducation accelerator, a fait remarquer que son entreprise se concentre sur deux axes principaux dans cette formation : la transition numérique et la transition environnementale. Selon lui « Il s’agit de mettre en place une formation digitale en ligne, soutenue par des mentors et des instructeurs, afin de familiariser les jeunes avec les divers métiers de la transition numérique, offrant ainsi des opportunités professionnelles prometteuses », a-t-il ajouté.
Stéphane Coulibaly, au nom du ministre de la Transition numérique et de la Digitalisation, a salué l’organisation de cette conférence et souligné son rôle crucial dans la sensibilisation à l’importance de la digitalisation pour l’ Afrique .Il a également encouragé à travailler en partenariat avec les gouvernements, le secteur privé, la société civile et les communautés locales pour exploiter pleinement le potentiel de la digitalisation et créer un impact positif et durable en Afrique subsaharienne.
