Un premier groupe d’agriculteurs afrikaners blancs, dont le Président américain Donald Trump, a soutenu d’avoir été victimes de « génocide et d’expropriation de terres en Afrique du Sud, désignés comme réfugiés par Washington », est arrivé Aux Etats Unis, le mercredi 14 mai.
Depuis son retour à la Maison Blanche en janvier, Trump et son soutien Elon Musk, né à Pretoria, ont affirmé – sans preuve – que les agriculteurs afrikaners blancs étaient victimes d’un génocide et que l’État saisissait leurs terres.
Une action qui ne fait qu’augmenter la tension entre Washington et Prétoria, alors que le président sud-africain Cyril Ramaphosa, actuellement aux Etats Unis, doit conclure un accord commercial le mercredi 21 mai et convaincre les États-Unis de participer au sommet du G20 à Johannesburg cette année
Selon plusieurs observateurs, ce sont les plaintes pour génocide déposées par l’Afrique du Sud devant la Cour internationale de justice, contre Israël, qui serait à l’origine de ses tensions, surtout que la nation arc en ciel entretient également de bons rapports avec l’Iran. Ce qui aurait déclenché le fameux décret de la Maison Blanche intitulé : « Remédier aux actes scandaleux de la République d’Afrique du Sud »