La pression mondiale en faveur d’un avenir sans émissions nettes de carbone est une occasion saisie par les décideurs politiques et parties prenantes ghanéens pour discuter sur les progrès technologiques qui peuvent conduire à une transition énergétique juste et adopter l’émission d’une technologie énergétique sans carbone.
Ce sujet qui fait suite à la décision de la COP de mettre progressivement un terme à l’énergie fossile risque cependant de perturber le marché énergétique africain, éprouvé par les crises mondiales, qui cherche à rattraper son retard économique avec les puits offshore et onshore, découverts, pour certains, il y a moins de cinq ans. C’est dans ce contexte que le gouvernement organise la première Conférence africaine sur les technologies énergétiques (AETC) qui aura lieu du 12 au 14 mars 2024 à Accra, par le biais d’Africa Energy Technology Centre, en partenariat avec le ministère de l’Énergie.
Parmi les orateurs distingués figurent le président Nana Addo Dankwa Akufo-Addo et d’autres personnalités éminentes du secteur de l’énergie. Cette tribune qui met en évidence les progrès technologiques qui peuvent conduire à une transition énergétique juste sera meublée par des discussions engageantes, des discours d’ouverture et des séances de panel pour explorer les dernières avancées en matière de technologie énergétique, d’intégration politique et de cheminement vers un avenir durable.
Reconnaissant l’importance de l’inclusivité, l’AETC consacre des séances aux femmes dans le secteur de l’énergie et à la prochaine génération dans le secteur de l’énergie. Ces initiatives visent à combler les écarts entre les sexes, à autonomiser les jeunes et à mettre en évidence leur rôle crucial dans l’élaboration du paysage énergétique.
